Résumé : Roman de 1944 jusqu’à nos
jours.
En
Décembre 1944, dans un ultime geste de désespoir et de revanche, deux SS
prennent en otage cinq femmes dans une église et les tuent sans état d’âme…
Mais par la suite, l’un d’eux faire une rencontre qui bouleverse sa vie et
retourne son cœur. A-t-il le droit à une deuxième chance ? Est-ce que son
passée va le rattraper ?
Olivier
Guy s’empare de l’Histoire et de la folie nazie pour nous conter une conversion
fulgurante et la puissance du pardon, et aussi le désir de justice et de celui
de la vengeance. Fort, profond et plein de sens sur la nature de l’homme faite
de larmes et de lumières.
De
Larmes et de Lumière
est un roman écrit par Olivier Guy et publié par les Editions Béatitudes. Ce livre
de 320 pages coûte 17,80€. Ce roman nous emmène donc pendant la seconde guerre
mondiale jusqu’à nos jours, pour une histoire tragique. Un livre qui me tentait énormément et qui n’a malheureusement pas été
un succès.
Je
n’irais pas par quatre chemins : j’en
suis bien désolée mais je ne suis pas du tout rentrée dans l’histoire.
L’auteur a une écriture très travaillée. On
sent rapidement qu’on a entre les mains un livre documenté et soigné. Mon
souci n’a donc pas été dans l’écriture mais dans ce qui était écrit. L’auteur nous présente de grandes et de
longues pages de narration où l’histoire se retrouve noyée dans des détails qui
n’ont pas d’importance pour le récit. Nous transmettre du savoir, oui. Il
me semble cependant que la manière de le faire n’a pas été la bonne pour moi
avec ce livre.
En
toute transparence, je vous dirais que je n’ai pas finis le livre. J’ai
laborieusement lu 130 pages avant d’abandonner. Nous y enchaînons des points de
vue différents, ce qui pourrait rendre l’histoire attrayante. Ce n’est pas que l’histoire n’avance pas ou
qu’elle n’est pas intéressante : c’est qu’elle se retrouve noyée sous des
détails.
Je
suis bien désolée de faire une chronique négative sur ce livre qui m’avait tant
tenté. Je remercie cependant les Editions Béatitudes pour leur confiance.
Malheureusement, je crois que j'aurai le même problème que toi...
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