Tristan et Yumi de Paul Chabot

Je tiens à remercier la maison d’autoédition PUBLISHROOM et Paul CHABOT pour m’avoir fait parvenir le roman Tristan et Yumi, tome 1.

Ce roman est paru en mars 2018 et son prix est de 17 euros. La taille d’écriture est agréable pour le lecteur. La couverture est intrigante et nous plonge d’emblée dans le monde du futur.

An 2122 sur la planète Terre. La guerre nucléaire a anéanti la Terre. La pollution, la disparition des ressources de la planète, tout cela menace l’espèce humaine qui cherche des solutions pour survivre.

Tristan est chasseur-recycleur. Son rêve est de quitter la Terre et de partir coloniser une autre planète. Il travaille dur pour pouvoir embarquer sur l’Arche, gigantesque vaisseau destiné à coloniser le lointain système d’Utopia.

Yumi est une jeune pilote lieutenant de police. Téméraire, audacieuse, le danger ne lui fait pas peur. Elle fait confiance à ce qui gouverne la Fédération.

Paul CHABOT met en scène deux personnages principaux, Tristan et Yumi, qui n’appréhende pas la vie de la même façon. Le premier, Tristan, travaille pour rester en vie et loge dans un secteur défavorisé. Il sait qu’il ne peut compter que sur lui-même. La deuxième, Yumi, vit en confiance et heureuse dans un secteur favorisé. Elle s’amuse, du moins, avant d’ouvrir les yeux…

Tristan et Yumi est un roman d’anticipation qui nous prédit un triste avenir pour la Terre, si l’espèce humaine ne réagit pas très vite. Paul CHABOT a su parfaitement créer un monde futuriste dans lequel l’on peut véritablement se projeter.

L’histoire de ce roman est intéressante et celui-ci aurait pu être vraiment bien. Malheureusement, beaucoup de fautes d’orthographe, de gros problème de concordance des temps, des termes employés de façon inappropriés…  

Du coup, cela rend la lecture laborieuse et celle-ci devient rapidement ennuyeuse. On a envie de savoir ce qui arrive à nos personnages, donc on insiste dans notre lecture mais cela est toujours embêtant de devoir relire ce que l’on vient de lire…. pour être sûr d’avoir bien compris.  

Vraiment dommage !