Date de parution : Septembre 2010
Nombre de pages : 564
Edition de ton livre : Pockette Jeunesse
Quatrième de couverture : Quarante ans après la guerre qui a défait le Tyran, le Monde Emergé n'a toujours pas trouvé la paix. Non seulement le Chevalier du Dragon, devenu roi de la Terre du Soleil, étend son influence, mais une guilde secrète d'assassins prend du pouvoir. Cette dernière recrute partout des tueurs et des guerriers, comme Doubhée, 17 ans, la plus célèbre voleuse de la Terre du Soleil. Cette dernière refuse d'entrer à leur service, mais Yeshol, le grand prêtre de la Guilde, a les moyens de l'y contraindre. La jeune fille se retrouve bientôt, malgré elle, au coeur de la société sanglante, transformée peu à peu en machine à tuer. Pendant ce temps, Lonerin, membre de la résistance, s'infiltre dans la Guide.
Y a-t-il une suite ? Oui
Un mot pour définir le livre : Bien mais...
Ta note : 8/10
Ton avis : Etant fan de la première série, j'ai été déçue de ne pas retrouver dans ce premier tome la même intensité que dans la trilogie précédente. Doubhée a beau être un personnage attachant et ressemblant beaucoup à Nihal, je regrette beaucoup ma demie-elfe.
Néanmoins, l'histoire est intéressante, prenante et pleine d'action. On retrouve cependant un caryotype un peu similaire avec une Doubhée nous rappelant le caractère de Nihal, Jenna pour Sennar... On découvre lentement le passé de Doubhée et le but, horrible, de la Guilde. La fin est plutôt à suspense.
Attention : je recommande grandement de lire la première série avant d'entamer celle-ci afin d'avoir une meilleur compréhension pour certaine allusion.
A qui le recommanderais-tu ? Aux amoureux de la fantasy
Le début est assez étonnant : on se retrouve propulsé cinquante ans après, avec de nouveaux personnages et tout.
RépondreSupprimerAprès, certes l'intensité est différente de la première saga, mais je trouve que l'auteure fait un travail remarquable en explorant intégralement la personnalité de Douhbée.
J'ai beaucoup aimé découvrir ce nouveau personnage marqué par un lourd passé et un sombre présent.
Arrivé à la fin, on ne peut que demander la suite !