Résumé :
Noria est encore adolescente quand, à la mort de
son père, elle est nommée maître du thé de son village. Dans un monde qui tente
de se relever d'une guerre qui a épuisé les réserves d'eau potable, la jeune
fille est à présent garante des traditions d'un temps révolu et protectrice
d'une source secrète que sa famille protège depuis toujours. Mais bientôt, les
militaires de la Nouvelle Qian - le gouvernement qui régit la société -
décident d'enquêter sur l'apparente abondance des ressources d'eau du village.
Alors que l'eau se fait de plus en plus rare, Nora devra faire un choix : se
battre ou coopérer ?
La
fille de l’eau
d’Emmi Itaranta est un One-Shot
dystopique publié par les Editions Presse de la Cité. A destiné plutôt adulte, ce livre fait 300 pages et
n’est plus commercialisé à ce jour.
Cette
chronique sera très rapide : je ne
suis pas du tout rentrée dans l’histoire. Je n’ai pas accrochée à l’héroïne
tout d’abord. Et si l’univers m’a plutôt convaincue, le rythme de l’histoire
n’a pas su me saisir. Rapidement, j’ai commencé à tourner les pages pour
avancer un peu plus vite, lisant de travers. Le style d’écriture ne m’a pas non
plus convaincu.
Bref, une lecture à côté de
laquelle je suis passée.